Let’s Go Cena ou Cena Sucks ? C’est la question existentielle que nous posons à nos lecteurs dans notre dernière édition de Planète Catch et à laquelle il vous faudra bien répondre ! Choisissez votre camp, camarades, mais simplement après avoir dévoré notre dossier du mois consacré à un Marine aussi haï qu’il est aimé, à moins que cela ne soit le contraire. Et puisqu’il vous restera certainement un peu de temps de cerveau disponible (oui, nous voulons le croire), jetez-vous ensuite sur nos analyses éclairées des PPV d’octobre, Hell In A Cell pour la WWE et Bound For Glory pour la TNA. La fédération de Stamford vous a concocté une arnaque digne de celle de Montréal, tandis que sa concurrente d’Orlando a consacré le retour en grâce d’un éternel adolescent au visage peinturluré ! Dans ce 51e numéro de votre magazine favori, vous retrouverez également nos judicieux éclairages sur la division tag team, vous vous baignerez virtuellement dans l’océan où
pataugent les Divas et vous pesterez avec le Sniper contre la décision absurde de faire de Raw un Supershow de trois heures. Votre dose mensuelle de catch vous attend chez votre marchand de journaux habituel, et souvenez-vous : si vous ne trouvez pas Planète Catch dans ses rayons, menacez-le de mort ou pire encore, obligez-le à regarder en boucle l’intégrale des matchs de Hornswoggle. C’est cruel, mais aux grands maux, les grands remèdes.
Bonne lecture à tous !
Au sommaire de ce numéro :Tous les résultats de Hell In A Cell
Dossier : Let’s Go Cena ou Cena Sucks ?
Plein feux sur les 3MB, ou l’union des losers fait-elle la force ?
Zoom: la lente descente aux enfers des Divas de Stamford
Actu : la renaissance de la division tag team ?
Focus : le retour du Big Show en haut de l’affiche
Question Facebook : la Winning Streak de l’Undertaker
Actu TNA : Jeff Hardy, retour en grâce d’un gamin rebelle
PPV TNA : tous les résultats de Bound For Glory
Kofi Kingston et le plafond de verre
France : interview des dirigeants de Mattel
Sniper : il tire à boulets rouges sur le Supershow de trois heures